
Je m’intéresse ici à la notion de liminalité parce qu’elle permet de penser, de manière transversale, ce qui se joue dans les « moments de transition », les « états instables », les « seuils de passage » au sein des systèmes humains, sociaux ou cognitifs. Qu’il s’agisse de rites de passage (Van Gennep), de paradoxes relationnels (Bateson), d’entropie (vs néguentropie)...